mercredi 23 février 2011

Jouissance dans le parking

Imaginez: fin d'après-midi, Alyssa et moi nous rendons dans un grand super-marché et parquons nos deux voitures côte à côte dans le parking. Ma voiture est contre un muret et celle d'Alyssa à ma droite. Nous sommes ainsi quelque peu cachés d'éventuels personnes passant trop près de mon véhicule.

Après avoir fait quelques emplettes, Alyssa et moi entrons dans ma voiture. Nous avions déjà parlé avant d'arriver de mon envie de jouir dans sa bouche, une envie qui datait de deux jours. Elle était excitée rien qu'à l'idée de pouvoir me faire gicler entre ses lèvres.

Sans autre forme de procès j'ai descendu mon pantalon. Je ne bandais pas encore mais ce n'est pas un problème pour Alyssa qui adore me faire durcir grâce à sa science de la fellation. Ca n'a pas manqué, après un petit moment mon sexe était devenu dur comme elle l'aime. Elle m'avalait jusqu'aux couilles puis remontait sa bouche sur mon gland pour le sucer et le lécher.

Pendant ce temps, ma main droite ne restait pas inactive et s'était glissée dans le jeans de ma belle. Un doigt inquisiteur s'était enfoncé dans son cul lui arrachant des gémissements de plaisir.

Au bout d'un moment de cette superbe fellation, je branlai ma bite, le gland bien au chaud entre ses lèvres et c'est dans un grand cri que je jouis, emplissant sa bouche de ma semence. Ma jouissance fut très violente, longue, profonde, une de celle qu'on essaye de retrouver le plus souvent possible.

Mais Alyssa n'avait pas eu son compte et même si mon excitation était tout naturellement retombée, je me fis un plaisir de m'occuper de ses envies. Je caressais doucement ses lèvres bien humidifiée par l'excitation que lui avait procurée sa fellation. Je me concentrais sur son plaisir, le faisant monter gentiment, doucement pour que sa jouissance soit longue, profonde. Elle le fut et même à plusieurs reprises. Son clitoris terriblement gonflé était devenu hyper sensible et la moindre caresse sur celui-ci déclenchait des ondes de plaisir dans le ventre d'Alyssa. Elle criait, se tordait sous l'emprise des orgasmes et elle me demanda d'arrêter, tellement le plaisir l'avait anéantie.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire